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Commençant comme un album des Sex Pistols chez Beavis and Butthead, automat-on ne pouvait que baisser de fréquence ou s’écraser contre le mur. Arrière petit fils d’Husker Dü ou de Sugar (suivez mon regard Bob Mould) Spudgun a la magie de la puissance de l’électricité et la dextérité des cracheurs de feu à ne pas mettre celui-ci au contact de nos têtes encore chevelues. Toutes guitares devant et complexe dans le vestibule, Spudgun se promène dans un champs de mines qui partiront d’elles-mêmes avant de se faire exploser par cette bande de furieux. Inutile de chercher donc le bouton off à cet automate réglé et conçu pour avancer et rugir et crier. Noir Désir chantait soyons désinvoltes n’ayons l’air de rien, Spudgun pourrait reprendre cette quasi maxime pour étudiant de première année de lettre, en lui adjoignant un doigt vers ceux qui ne croient plus en rien. Bonne pioche musclée.




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