Autant ne rien vous cacher cette chronique (enfin la chronique) de Bluebob était écrite depuis trois semaines, mais sa mise en ligne n’attendait que la mise ne rayon du cd dans une version classique après la version cadre supérieur fan de Lynch et de coffret "inrangeable" dans la discothèque d’un vrai amateur de musique. La chronique d’avant le choc de l’olympia, parlait d’un disque sombre, aux portes multiples derrières lesquelles rien n’est vraiment possible à part la mise en abîme. Je vantais ce rock gras et industriel comme un fantasme éveillé d’un réalisateur qui pour ce coup-ci nous a super bien endormi. Le Marylin Monroe balancé sur une compilation des inrocks était une mise ne bouche fulgurante, rendant les jours d’attente aussi complexe que de dénouer les pelotes des films de Lynch. Le fameux et intriguant Bluebob refaisait surface, et si l’ensemble ne devait pas remettre en cause l’histoire de la musique, il charmerait sadiquement nos sens, transcendaient aveuglement d’être en présence d ’un disque de David Lynch. Et puis il y eu l’olympia, le festival des Inrocks (Orange TM, citron le public), plus gros cachet de l’histoire du festival, à peine le temps d’une mi-temps de mi-temps d’un match de foot pour voir un lynch dans la bordure (on l’aime dans la bordure mais au cinéma) servant de coton à l’album d’un Neff pas très catholique. Alors pour ce disque en est il de même, Lynch n’est il pas là avant tout comme un stickers telerama sur un cd ou chris Martin sur une soupe en sachet ?. La question reste entière, le disque inécoutable en entier d’une traite, l’ambiance lychéenne comme tout ce qui entoure ce disque. Le coup passa si…………Stop it bluebob.