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C’est donc 4183 bières après le démarrage que Indian Tower verra le jour. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est la feuille de presse. Dans mon manichéisme légendaire, énervé peut être par le centrisme mou, j’en déduis alors que la bière n’adoucit pas les cœurs les mœurs (peut être sur the face of god) et encore moins la musique. Si les arbres présents sur la pochette et le livret n’étaient pas aussi frêles je vous parlerais bien de musique de bûcheron au milieu des ruines. Plus habitué depuis que je me suis définitivement affranchi des reliquats du grunge post The Clercks, aux sons lourds et puissants, l’écoute de The Indian Tower reste aussi redoutable pour mes oreilles que peut l’être une toile du douanier Rousseau pour mes yeux, mais les raisons sont très différentes je vous le conjure. Avec sa police de caractère grégorienne, un système pileux aux frontières des chutes du Niagara dorsale, Pearls And Brass me devra quarante cinq minutes de vie, celles là mêmes qui m’auront éloignées de mon frigidaire. Hop une bière.




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