Trop parler de ce disque serait plonger dans un cauchemar comparable à son écoute d’une traite. Crispant comme jamais, ce disque est une suite d’instrumentaux et de chansons (histoires) racontés de façon monocorde. Paroxysme de ces textes sera cette histoire de bouteilles d’eau comme d’autant de réceptacles d’un futur radeau de l’éphémère au milieu de murs. Je sais c’est n’importe quoi, mais je suis assommé par ce disque nous mettant parfaitement dans la posture du chroniqueur penchant entre l’art et le cochon ! De la supercherie de la vie à la super chérie de l’art rendant ce travail tellement difficile qu’il vous sera amené, vous nos lecteurs adorés, à écouter ce disque sans notre aide, sans notre fil d’Ariane car Laurent Plessis vient d’en faire une pelote. La quatrième dimension.