Czar fait du rock et le fait bien. Droit comme un I Anthony Azoulay (le chanteur) est le seul à se permettre des fantaisies, à jouer de son timbre pour brûler quand il y a urgence ou pour caresser pour soulager. Whispers ouvrira vos oreilles fermées à ce rock n roll bruyant et mélodique. Mais czar n’a pas le pied sur l’accelerateur, il aime à regarder autour de lui (ashamed comedy). Tendre parfois, simplement urgent dans ses prises de dénivellations, czar lance une couronne mortuaire aux lécheurs de roues, et leur adresse un bras d’honneur, montrant que toute cette agitation autour de certains n’est le fait que de la douceur du buvard. Peut être trop scolaire (around me) dans la ballade, sans doute dépassé par les événements (at the end of miles) mais à coup sûr heureux de jouer (whirlwind), czar profite de la loi Sarkozy pour dépenser son épargne d’entreprise, ne croyant qu’à la joie d’être debout et en vie. Une note dans la moyenne entre le A et le Z qu’ils possèdent. A suivre.