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  • 8 janvier 2009 /
    Interference
    “spying the dreams”

    rédigé par gdo
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Jouer à cache cache est un chose paradoxale, fondée avant tout sur le plaisir de la retrouvaille. Interférence se cache, mais nous serions fort intéressé de le retrouver si seulement il se donnait le loisir de ne plus faire de ce voilage vocal un gimmick à force énervant. Ou alors interférence est un disque envoyé d’une lointaine planète par une peuplade avancé branchée grâce à une antenne télescopique nouvelle génération sur l’émission de Bernard lenoir. Entre beck et baby bird circa aluminium beach, entre les fantasques pensées d’un gribouilleur sonore et les atermoiements d’un arrangeur frustré de l’absence de corde dans son champ de vision. Lourd et dure est le chemin dit l’homme, long et dure est le tunnel répond alors l’écho. Un long tunnel donc (childhood) dans lequel massive attack et les cousins ont laissé des traces. Entre instru formidable (road to the next) et plongée dans la féerie de lewis carroll (hear the ring) avec comme guide freddy gruger, interférence nous perd pour notre bonheur mais nous ignore pour notre malheur. Si loin si proche.




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