Dans une chambre d’hôtel, le vide est perceptible, et le passage d’une personne n’est même pas perceptible, ou à peine à travers les voilages. The absence lui est bien là, peut être trop. Une présence forte qui laisse la pop entrouvrir une porte par des cliquetis en arrière plan. On a beau chercher on ne trouvera que madrugada pour oser un titre comme fade out, un lyrisme exacerber en plus. Un chant sans le désespoir et sans les liens que la musique peut nécessiter. Car comment croire à ce chant (behind the mirror) qui s’évapore, privilégiant les octaves contraires. Comment imaginer jay jay johanson au sein des tinderticks. L’incongruité est ici équivalente. The absence qui se devait être une analogie à la dérive des sentiments, traite le sujet avec une complète absence d’émotion, (window town) et préfére croiser un fer d’office avec une liaison impossible, au bout du compte on laissera quelqu’un sieurs la route. On pourra toujours ce consoler avec le trauma est le retour des inspiral carpets sans la cohérence de l’almanach, car là the absence y décolle quand même…..avec la lourdeur d’un oiseau de mer obèse .