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Après des inimitiés alémaniques suite à 1982 et 1986 je pensais en avoir fini avec mes ruptures diplomatiques footbalistiquement ridicules, et puis est arrivé ce qui est arrivé (close de style aussi étrange énigmatique pour moi) le 8 juillet dernier dans le théâtre de tragédies puantes. Depuis ma si ma consommation de pizza et autres pâtes n’ont pas baissé, ma déférence envers le pays le plus classe de notre vieille Europe (demandez à un anglais de porter le marcel comme un milanais !!) en a pris un coup. Me proposer donc de chroniquer un disque d’un groupe transalpin est aussi risqué que de faire garder sa progéniture par un adepte du temple solaire. Mais que veut dire la nationalité quand un groupe sonne comme n’importe quelle troupe anglo américaine jouant un punk pop rock (dans l’ordre que vous souhaitez). Les influences sont clairement amenées par une version survit aminée et impeccable du hangin’on the telephone, une puissance toute maîtrisée au service de chansons aux accroches sympathiques (le très bon the reciever) qui font de cet album une rencontre sympathique si l’on excepte un supersonic braillard et bourrin. De là à dire forza il y a quand même un monde. Green day diront nous.




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