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Porteur d’un étendard aux couleurs du King Elvis The Hellboys jouent du rock comme nous respirons autant par plaisir (celui de vivre) que par nécessité. De ce prêche sans véritable église (sauf peut être Graceland) The Hellboys extraient la substantifique moelle de la musique du king, ou plutôt de ses déhanchements. Sans être les Forbans The Hellboy n’arrivent pas à la légitimité d’un Dick Rivers (c’est du premier degrés). Sur Mutant Love on essaye de ne pas imaginer le pire, cette période des adaptations de standard du rock par la crème de la variétoche circa les carpentiers mais parfois l’ombre des grands anciens laisse sur ce disque un voile de circonspection. En s’éloignant du postulat présenté dans la fiche de presse (disconnected) les Hellboys nous font sentir que les moyens ne justifient pas la fin, et que sous la deserrance que l’addiction nous impose, des fleurs poussent (Charlie Sheen,) sans prendre aux greffons présupposés. Gates of Graceland.




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