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Pour cette rubrique sur l’auto production, je demande outre le disque, une bio et un visuel. Avec Sunday velvet, la bio se résumait à une interview donnée à un webzine, dans laquelle le maître des lieux, citait des références qui certes, sautaient aux yeux, mais bien moins que celle qui m’apparue d’emblée. Si le songwriting impeccable est dans l’ombre des références, c’est celles-ci paraissent trop nombreuses, alors qu’une seule pouvait faire briller, plutôt que des masques. Sunday velvet, pourrait être à Swell ce que arise therefore de palace, est à New Order, la morgue et le bois en plus. La reprise de that’s what i get, offre entre autre à Trent Renzor d’entrevoir une lumière autrement qu ’en pleine face, histoire d’être mieux tabassé. Cela devrait donner, la migraine aux meilleurs des gratouilleux in the bedroom. Des exploits sportifs, non, la compétition est tout autre chez Sunday velvet, ici on postule juste au championnat de battement de plumes, d’un point de vue stylistique. On tolère les mouvements que ce sont ceux de l’air….sur cette demo nous prions afin qu’ils perdurent. A encourager absolument.




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