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  • 10 janvier 2008 /
    Lodger
    “hi fi high lights down low” (Recall)

    rédigé par gdo
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Le meilleur album pop de l’année qui recycle le recycleur Beck en y ajoutant les mélodies propres mais espiègles de Belle And Sebastian, c’est ainsi que nous pourrions conclure en introduisant cette chronique qui s’amuserait bien à créer des idiomes pour faire passer le message. La conclusion comme intro comme un pied de nez, une allégorie du meilleur du meilleur pour la fin, mais quand la fin est au début. Il faut dire que ce disque a de quoi mettre dans un drôle d’état se frisant les moustaches face aux détenteurs de la recette du tube, rendant ce resquilleur aussi pathétique qu’un joueur de bonto chez Sebastien. Lodger fait dans l’efficace de qualité et soigné, se guidant avec les étoiles de la pop indé, non pas celles des étoiles mais celles des vingt dernières années. D’air (two smiles is a long walk) à Beck (doorsteps) en passant par la bande de murdoch et j’en cache encore sous mon bras, Lodger rivalise d’une imagination certaine pour ne pas tomber dans l’écueil de la partie facile. Les perspectives de Lodger sont dés lors immenses (short man on TV m’a fait réécouter la discographie complète de Joseph Arthur sans y trouver forcement meilleur) et Big day semble taillé pour ne pas finir dans l’anonymat, malgré une ligne de basse éhontée privilégiant l’hommage en ordre nouveau. Plus complexe qu’une simple accumulation de tubes, hi fi high lights down low est l’idiome sonore du bonheur. Bonne pioche.




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