> Critiques > Labellisés



Avec ludmila il fallait se faire fi d’une comparaison facile se disait on, avant de juger que celle-ci pouvait servir de décorum à une musique simple et universelle. The two qui ouvre ce EP semble tout droit sorti de la fossette, une electro guillerette avec ce coté désuet qui habille une structure plus liée et chaloupée. En se contentant de la facilité on en oublierait presque queludmila a pu accoucher d’une véritable merveille sans âge (flash) signant un classique qui s’ignore. Un morceau à maudire le mot fin. Dés lors plus rien n’arretera ludmila, pas même le fantôme d’amelie poulain (the supplication of the prisonner) une bonne fois pour toute, piétiné (j’en rajoute pour faire plaisir à Kaganski) par une bande en rétropédalage sorti de delicatessen (le spot de pub d’une heure trente de jeunet…..kaganski merci qui ?). Quasi clone vocal de Dominique A, ludmilla caresse ici les anges, demandant à ces personnages ailées de tout porter dans un couloir de proximité à Goran bregovic. A force de nous emerveiller, ludmila va finir par nous echapper. La joie des grands désespéré, le sourir de celui qui ce doute. Merci.




 autres albums


aucune chronique du même artiste.

 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.