> Critiques > Autoproduits


  • 11 janvier 2008 /
    DLGZ
    “daddylonglegz”

    rédigé par gdo
      notez cet album


Avec ce nom de dérivé chimique utilisé par des cyclistes avant de commencer un improbable tour du monde en vingt étapes, et sans ravitaillement. DLGZ pouvait laisser à notre imagination, mais aussi à notre mauvais esprit pour trouver en ce signe des combinaisons plus ou moins fines. On pourra continuer les paraboles sportives en parlant d’un groupe, véritable marathonien courrant la substance mythique à la vitesse d’un coureur de 400 mètres, sans jamais réellement montrer des signes de fatigue (tiens tiens la substance). Le danger c’est que en partant loin devant, DLGZ fini par perdre son auditeur dans un free jazz roboratif Entre fusion, trip hop, DLGZ ne choisi pas son camps et se transforme en un ersatz de Police plus cool et moins prêt de ses cours de comptabilité et de son livret A. Entre déception et acte fondateur d’un avenir porteur, DLGZ frise l’indigestion, tout en nous servant des parcelles de cuisines fantastiques .




 autres albums


 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.