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Arnaud Michniak chantait qu’il était un boomerang et c’était tout un programme. Glasnost n’a pas pris l’ex Diabologum dans la tronche, mais le boomerang qui les a frappé et celui d’une adolescence à écouter Nirvana, le label sub pop (avant qu’il perde la tête) et le dirty de Sonic Youth. Certes plus de dix ans après faire sa crise d’adolescence cela témoigne d’une maturité absente, mais ce n’est pas ici que l’on oubliera de glisser dans une chronique notre amour pour 4AD, de setanta ou encore des disques de sarah records. Vivant de cette nostalgie nos cinq Glasnost (je rappelle que glasnost n’est pas le nom de la tache sur le front de Gorbatchev) en feront même un titre 1994 année pendant laquelle on ne passait pas un mois sans voir fleurir un grand disque. Il y a donc un brin de passéisme dans ce EP, mais combien de chansons sans voix pour un morceau comme parasite qui nous fera ressortir le Tricky agressif de Maxinquaye. EP qui certes ne me fera pas fondre dans une éloge émouvante, mais boomerang est un disque honorable.




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