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De son décorum ésotérique et de ses (peut-être) aspirations à devenir le grand chaman d’une nouvelle ère, il faut bien dire que je me faisais un plaisir de les mettre dans une énième corbeille à soucoupe volante miniature. Et puis dés l’art of Cocoon je me suis fait prendre au jeu alors que la lourde entré de mystic sociéty avait eu le désagréable honneur de connaître le cimetière des pompiers musical. Entre electro pour prisunic branchouille avec clone de liz frazer, et dub martiale et efficace (b-52 (final cut dub)) Inti aka balance, donnant aux sphères qui tournent autour de la terre, à la fois l’envie de continuer à tourner sous de si beaux auspices, mais aussi l’envie de quitter la gravité pour définitivement faire taire l’auteur de sensitive. Aussi loin de kaz product que Mylene farmer peut l’être de l’érotisme courtois, Inti aka se donne de l’espoir pour l’avenir, pour peu qu’il n’essaye pas de lire sur les lignes de la main et qu’il laisse celle-ci s’exprimer sans le poids de l’avenir conditionnel. Chaud et froid.




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