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Certains disques devraient fournir dans son livret, un conseil d’écoute, proposer un lieu, un moment de la journée, une condition météorologique, afin que la musique, ou l’instant soit sublimé.

Pour ce EP de Martin Grey je vous propose la soirée. Une nuit de pleine Lune, un ciel totalement dégagé. Vous vous allongerez sur une pelouse bien grasse, seul ou accompagné, même si le partage c’est quand même mieux. Là, la tête dans les étoiles vous serez plus à même d’apprécier ces quatre pièces d’orfèvrerie de Martin Mey, quatre appels au vide stellaire, à l’introspection par l’absorption de l’immensité de l’univers. Petit magicien de là mélodie, Martin Grey vous offrira alors un moment rare et beau à la fois, suscitant tout à la fois mélancolie et envie de manger la vie.

Amples et proches de la peau en même temps, ces morceaux sont des étoiles que nous n’espérons pas voir filer pour mieux les fixer sur un ciel immaculé de noir et de point lumineux. A lui de nous offrir rapidement une constellation.




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