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De Nice, Stereogramm (qui regroupe des anciens de Tapenga et 2YS) retrouve l’alchimique recette afin d’associer electro-pop et texture dark. Souvent, en effet, ce genre d’alliages n’aboutit qu’à des mariages forcés : combien de groupes ou d’artistes se complaisant à enrober d’un habillage gothique leurs simples velléités dancefloor (ou inversement : des beats dysharmoniques violemment plaqués sur une cold wave qui n’avait pourtant rien demandé) ? Rien de cela chez Sébastien, Romain et Nico : comme, hier, Depeche Mode et New Order, Stereogramm aimerait faire chavirer les corps ; mais les humeurs sombres rattrapent, de plein fouet, la passion des nuits festives et de l’insouciance vécue sous les sunlights. « Diskönoir », dirait Daho…




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