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Sorti hier, l’album de Joe Love a.k.a. Fat Dog rappelle vaguement le groupe shht (Belgique, dude) ou encore (là on fait demi-tour vers fin nineties) Punish yourself (excellent groupe que j’ai vu mais qui venant de Toulouse, ben j’ai jamais revu). Et bien sûr, Primus. C’est destroy c’est déglingue c’est pas non plus Bracco (beaucoup moins sombre, mois lent, moins mauvais, moins insidieux) mais c’est cool. En quoi ? Il faudrait voir sur scène. On ne se jettera pas sur Youtube (pas du tout notre genre ici chez ADA) mais on imagine. 

Au travers de neuf titres bien défonce, moi je suis dans la rave, je me tape la tête contre des gens gentils (mais qui font deux têtes de plus que moi), y a un babyfoot pas loin au cas où on s’ennuie. 

Ça rappelle de bons vieux sound-systems et soudain y a "Wither", un titre plein de stroboscopes et de beats rapides... on danse seul(e), on est condamné(e) à danser seul(e). Post-party animal triste. Finalement l’illustration de la pochette avait prévenu. 




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