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Qui se rappelle la première Nuit Blanche parisienne lors de laquelle on découvrait ce duo improbable (8-bit sound) de types costumés en nounours qui devait s’appeler euuuuuuh… Quelqu’un s’en souvient ? Bon, on est ici, avec Casiomaha, dans des héritages similaires à ceux que nous ont légué Jacno et François de Roubaix : du son haché, synthétisé, mâché menu, digéré et régurgité illico par des murs d’enceinte géants (on aimerait bien !).

D’ailleurs pratiquement tous les synthés japonais sont de la fête : Yamaha, Casio, Kawasaki, Bontempi, Kawai, Liwaco, Texas Instruments… Le groupe nous rajeunit grave en jouant son popunk, ça nous parle, ça nous secoue, ça nous moove. Très peu de voix - s’il y en a, elles sont samplées juste pour mettre le feu au dancefloor.

En effet, un seul objectif pour ce duo brestois : nous faire danser toute la nuit. En l’espace de huit titres le pari est déjà remporté. Vivement la mini-tournée bretonne de novembre/décembre pour nous réchauffer les membres et les ouïes !




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