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Etrangement, ce treizième album de Tarwater, ressemble à un disque dont j’ai souvent rêvé : un album où Lou Reed serait le chanteur de Kraftwerk.

Le Lou Reed tardif et chafouin de ces albums des années 90, avec le Kraftwerk post-rockisant d’avant Autobahn, lorsqu’il y avait des flûtes et des cloches, où le rêve n’était pas encore totalement futuriste.

Cet album sonne comme le minidisc sans stickers que je rêverai de trouver dans une braderie, rempli d’échos de paroles de Shane MacGowan et John Lennon (entre autres) et de mélodies cousines des premiers albums de Brian Eno.

Ce n’est pas encore Noël, juste Saint Nicolas, mais c’est déjà un très beau cadeau de Ronald Lippok et Bernd Jestram, Vielen Dank gentlemen.  




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