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Typique de l’esprit glitterhouse, the great cruisaders signe avec ce quatrième album, un bien exemple d’un rock sudiste réfléchissant dans les rétroviseurs de bikes imaginaires les ombres d’aïeuls légendaires qui eux aussi faisaient du rock une alternative à une contemplation ringardisante d’un passé résolument tourné vers les aspirations d’être un peuple neuf et vierge (on voit où cela peut mener le nouveau monde). Rouge sang (spinni’ head) explosif autant qu’introspectif avec les yeux d’un aveugle, the great cruisaders se crispe (badlands) se prenant pour un fronde destructrice et cataclysmique. On pourra compter les abus dangereux, les caricatures obligés, il n’en demeurera pas moins que comme disait l’autre c’était bien le sud. Un vent chaud et redevable d’une histoire qui pointe son nez derrière la mer. Quand le temps suspend son vol pour reconnaître son tribut.




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