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Gainsbourg disait si bien j’ai des doutes j’ai des affres, les affres de la création. Chez thomas winter & bogue on aurait plutôt la création des affres, la longue et parfaite mis en texte et musique de la capitulation des espoirs. Entre chanson française et rock tendu,Thomas & bogue réussissent le grand écart entre Brel et Louise attaque, entre Alexis Hk et Bashung, ne minaudant devant rien, pas même les catastrophes revenant au fil du temps ce que l’on appelle négligemment les expériences. L’expérience il en est beaucoup question ici, et ce n’est pas à l’instar de miossec le récitatif qui prend le pas sur la musique. Rien n’est entré ici au chausse pieds même sur le poignant et déchirant " je suis " déclamation à la Brel d’un portrait sans concession. De l’alcool à l’amour, la vie a une amplitude pleine de richesse, forgeant l’homme. Disque coup de poing comme boire a pu l’être, sur la colline est loin des alcôves de la chanson pour patronage des conseillers municipaux. Ici il y a de la bile et de la sueur chez ces gens là. Aucun doute, à découvrir absolument.




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