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  • 10 janvier 2007 /
    Gill landry
    “the ballad of lawless soirez”

    rédigé par gdo
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On se souvient tous des images de la nouvelle Orléans sous les eaux, ravagés par des éléments que l’homme ne peut dominer mais certainement fâché. Cette Mecque de la musique a gardé imprégné dans ses murs ce qui fait le ciment quand l’âme elle est partie voir ailleurs. Gill Landry, vient de la nouvelle Orléans, et sa country est plongée dans un blues qui rend le temps bien noir. Les mariachis ont beau faire une apparition, c’est au fond d’un lit de désespoir que Gill Landry nous parle, signant un polar musical sous la haute influence de Van Morrison, Bob Dylan ou encore Tom Waits. On regrettera l’accent parfois grossier du bonhomme (ugly town) mais du revers de la main nous essuyons ces stigmates pour nous souvenir de Desiree, même si nous ne referons pas le voyage si souvent. Pour amateur de roman noir un stetson sur la tête et des franges à perte de vue.




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