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James murphy est un doux dingue. Doux car il a eu la bonne idée pour cet album de nous offrir que de l’inédit. Dingue car avec celui si il nous offre une compilation de ses tubes ravageurs dont le cultissime losing my edge (titre d’une génération ?). Comment ces nouveaux allaient ils pouvoir survivre face à cet Ajax Amsterdam de la techno punk à tendance cool ? Peut être en faisant mieux, en ne décevant qu’à moitié. Si daft punk is playing at my house doit énerver le duo français de ne pouvoir tenir la comparaison, dés too much love on sait que James murphy va réussir son pari. Impossible de se lever le matin sans mettre les tribulations à fond comme un notwist sous extasy, déconseillé de prendre la voiture sans movement, proscris de manger avec le beta band sans leur offrir en dessert never as tires as when i’m waking up, illusoire de ne pas faire de repeat l’action unique de la journée, ou de thrills la dernière requête avant d’imposer disco on fliltrator dans les ascenseurs. Disque addictif plus que fantastique, cet album de lcd soundsystem frappe juste partout, réussi la cible parfaite en regardant dans une boulle à facette. Ce disque est une drogue, ou comme le fini James murphy, a great release.




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