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Recevoir un cd promo à la jaquette quasi immaculée de blanc (exception des titres) empêche l’auditeur de prendre appui sur des images , désoriente, voir fait fuir celui-ci. L’autre attitude c’est justement de créer ses propres images, quitte à trahir l’auteur.. Après le blanc, c’est un orchestre qui s’accorde (petit bouddha) avant l’utilisation de corde à l’image de ce que peut faire GYBE. Après cette naissance de Bouddha la fête est sonnée par des oiseaux (part2), prologue à la montée d’un vrombissement inquiétant, venant d’une faune crispante. Comme un pistil à cette fleur noire un crissement se dresse avant une chute raisonnante. Est-ce la fin de bouddha ou une trop forte quantité de stupéfiant ? La réponse n’est pas dans cette girouette tournante (part 3) dans un vent calme, mais peut être dans sa montée violente. Tout ce met alors à tourner dans une atmosphère sombre ; le trip n’est pas hop, la descente terriblement rapide et violente (part 4), entrée en matière pour une future messe ascensionnelle (part 5), un peu de religiosité après ces temps ténébreux. La vie comme éclosion après le grand cataclysme. Tout ne tien qu’a un fil, même la pleinitude du repos mérité. Et puis Leo, une trompette d’un autre monde, des percussions d’un peuple des collines, la bonne nouvelle est arrivée, le sauveur est né, gloire lui est rendu. Hamsa sera alors l’heure de la fusion des éléments pour une réussite musicale unique. Dites messieurs maintenant vous pouvez me donner vos images.




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