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  • 4 mars 2008 /
    Cibelle
    “the shine ofdried electric leaves” (Warner)

    rédigé par gdo
    4 votes
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Imaginez. Prenez une brésilienne piquante. Laissez là vous mettre la peau sans dessus dessous le temps d’une reprise aussi minimaliste que grandiose de Tom Waits (green grass). Imaginez ! Imaginez la belle Cibelle et le beau deviendra reprendre Caetano Veloso (london london) sans que le mot hype vous monte, même pas une seconde à la tête. Imaginez. Imaginez-vous la tête dans un disque donnant à votre corps des envies de se lover. Imaginez la rencontre d’une coccinelle avec une électro suave sous une chaleur réclamant le repos du corps. Imaginez. Ouvrez les yeux et regardez Cibelle, une voix d’or, un héritage comme source de sublimation, l’électro comme parure (écoutez flying high et mourir) et une suavité qui feront passer les apparitions de Monica Bellucci pour les barrissements de Mauranne. Dépêchez-vous avant que le papillon prenne son envol trop loin. Sublime.




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