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En choisissant l’image de pelé pleurant en 1958 après la victoire en coupe du monde du Bresil, The confusions séme la confusion avec le triomphe et le chagrin, entre le désir palpable de la victoire et l’insoupçon préalable, la méconnaissance du sentiment d’être le maître d’un monde. Avec don’t let the world catch you crying doit donner ce sentiment et plus particulièrement younger than ysterday, une version dumby de suspicious mind par damon albarn fusionnant blur et gorillaz le temps d’une fiesta chez les happy Monday picolant des boissons sans alcool. Cela fait beaucoup mais quand on aime comme disait zagalo, on ne compte pas. Dans le pays de thomas Brolin, il est a parier que demain dans une équipe de foot, les joueurs mettront un t shirt avec le nom de confusions, pour le montrer le temps d’un geste auguste et beau, d’un geste sans conséquence juste celui de procurer du bonheur. Jouissif.




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