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La comparaison va en faire sauter certains, mais le parallèle entre les chemical brothers et death in vegas est saisissant. Trois albums pour death quatre pour les frères chimiques (ce commence mal mon truc), invités parfois récurant (les galagher dans les deux cas) et la sombre impression de finir par faire toujours le même disque, même si….La monté serait plutôt le fait des death. Pas une monté sonique s’entend, seulement une échappée belle du bourbier jouissif du premier LP mais aussi du sable mouvant du second. Sur ce scorpio rising, death montre son squelette plus que jamais, rigole de ses ficelles, fait de la pop rock sans broncher (scorpio rising), et couche sur bande la meilleure prestation de Hope sandoval (c’est dire) sur un Killig smile à chialer. Death s’éloigne de cette image de rouleau compresseur boueux, pour devenir un phœnix, certes encore bien gauche, qui plane au-dessus de toutes les usines chimiques du monde. Un sens de l’organique génétiquement modifié, qui, donne l’envie de se replonger dans la boue, sachant que les pluies de cordes nettoieront dans l’avenir mon corps. Vegas n’est décidément pas décidé de laisser la main, les dés tournent si bien.




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