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Si les pink pillows n’ont pas encore térassé le public, ils auront moins compris que l’abondance des moyens de communication peuvent profiter à l’émmergence d’un groupe. Site internet et surtout concert online s’il vous plait, et pas sur second life. Mais l’essentiel ne doit pas être jugé à l’aune d’une aptitude à communiquer. Mais cela n’explique t-il pas ceci, ce ceci qui consiste à ouvrir les bras et à amasser, quitte à se casser les épaules. Alors, la question est posée le groupe a-t-il les épaules assez grandes pour supporter des influences aussi hétéroclites que Nirvana, Radiohead, Muse, Dynausor Junior voire Daisy Chainsaw (qui se souvient d’elle…..ben moi). L’Énérgie est là, l’esprit rock aussi (on ne chante pas à bout de souffle comme ici sans être un rockeur) mais l’esprit tout court manque à l’appel, d’un disque qui est le terreau probable d’une suite plus rationnelle mais aussi plus radicale, car la radicalité ce n’est pas brailler le plus fort possible. À suivre.




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