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  • 26 février 2010 /
    Jahvilostok
    “secret room dress”

    rédigé par gdo
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Certainement sorti d’un épisode de South Park sur le jakovasaure, ou nom sorti d’un lendemain de cuite à la vodka, toujours est-il que ce six titres de Jahvilostok peut à coup sûr taper dans vos oreilles, sans que celles-ci demandent l’asile politique dans un pays des balkans. Mélange pop rock teinté de rythmique madchester, Secret Room Dress ( le premier morceau) donne d’entrée l’envie de croiser le fer avec son banquier pour l’achat d’une décapotable afin de partir sur les routes, ce morceau à fond, sur des siéges à ressorts. Les vumétes dans le rouge, une basse trépignante (Don’t You Treat Me High), nos quatre complices font de la dentelle dans de la roche et se tapent sur les doigts avec un marteau quand ils sont pris en flagrant délit (Flying Mustango) d’écoute massive d’un gang à l’opposé de Cambridge. Loin de faire tache Mustango n’est qu’une ouverture à " A P Hours " décapant, sautillant, léchant les lignes de riffs de Deus. Jahvilostok avait alors juste retenu notre attention, même si, hombre faisait luire un peu plus encore la lumière du haut d’un veston. Avec Tutti Va Bene l’étonnement sera total, loin de l’univers proposé à sa naissance, Jahvilostok ouvre ce morceau, façon La Fossette musclée avant de la plonger dans un rock auguresque et rendre le refrain plus important que sur la Mémoire Neuve. On ne s’étonnera plus alors de chercher le lieu de villegiature de ces droles d’oiseaux. A suivre.




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