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Quand je parlais il y a une ou deux années de ce groupe dans la chronique de leur Ep. « Fulgurance », je jugeais de leur talent sur trois petites ritournelles entre rage et rêve, trois petits trucs vite enracinés dans ma mémoire dans la section « A ne pas perdre de vue ». Je suis tout aussi content qu’ils m’aient gardé assez en estime comme pour m’offrir cette petite vidéo a mi-chemin entre nos « Cosy home sessions » et notre vidéothèque, Le boss saura dans quelle section l’inclure.

Mirrordor en session live avec ce rythme syncopé qui ferait la joie de feu notre cher Marquis de Sade, dans ce cadre tournant comme manège, prends une ampleur, une force et une sensation d’embrassement chaud qui redore les palais auditifs. J’avoue de plus qu’il arrive au même moment où je lis un livre sur les enregistrements de Crosby Still and Nash (dont je ne suis pas fan, mais le livre était gratis, abandonné dans un bac du rastro de Madrid), et où les éclats des protagonistes sont des mélanges d’où naissent autant les guerres que les accords, et je vois ces jeunesses jouer dans cet état d’âme, unis comme doigts de mains et surs de leurs gestes. Ça m’a, bien sur, éclairer encore plus sur le fait de les avoir choisis pour une chronique, non, je ne me trompe pas, ces jeunes d’Alpaga ont un truc, une chose, une magie, une étincelle, un je ne sais quoi, en fait, qui me font croire, qui me font sentir, qui m’éblouis. Merci pour me maintenir dans votre aventure et me tenir au courant de votre vie sonore.

Quand a vous, si vous n’étiez pas là pour leur Ep., vous vous en mordrez les doigts en voyant ce clip.




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