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« 1 Brit, 2 Belgians, 2 Americans ; 100% Pizza ». Recherches infructueuses effectuées sur le Net, l’on n’en saura pas plus sur le groupe bruxellois Capsuna, hormis que la căpșună désigne en langue roumaine la fraise capron et que les six titres de leur mini album éponyme – slacker pop lo-fi ludique, délicate et mélodique – font un bien fou en ce dimanche matin pluvieux, tout de réminiscences constitué : un rêve étrange que je dois évacuer (je suis nommé directeur du lycée maritime du Guilvinec et on m’attribue, en guise de logement de fonction, une cabane sur la plage) et une furieuse mélancolie grunge (je veux revenir dans les 90s, la musique était vraiment chouette !!!). Vous l’aurez deviné, Capsuna tombe à pic : derrière une production inventive, on retrouve la décontraction des Breeders, teintée d’harmonies vocales à la Stereolab. Le chant féminin – en anglais mais également en français (Le toit) – nous prend par la main avec une tranquillité rassérénante et nous guide au travers de compositions acidulées, on en redemande. Très très cool.




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