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Non je n’avais pas oublié ce disque, simplement je ne savais pas comment faire. Et puis un dimanche dans un moment d’égarement, je me retrouve devant Michel Drucker. Vivement dimanche, oh oui. Et la j’aperçois, comme dans un rêve, Leslie, seule sur la scène avec sa grosse guitare, frêle, et superbe chantant seule ce magnifique Mushaboom. Je ne pensais pas avoir de telles émotions grâce à Feist depuis qu’elle chanta sur Bee Hives, Lover’s Spit, avec Broken Social Scene. Parce que oui pour moi Feist n’était qu’une chanteuse de Broken Social Scene. Let it die a ébranlé mon machisme. Car Feist, installée à Paris, adoptant par la même le style année 50 parisien, St Germain, les cafés, Pigalle et autre, soit l’image d’Epinal que nous renvoient nos amis nord américains. Let It Die respire la classe, terriblement bien illustré par le clip " One evening ", tout en retenue, en rythmes jazzy et surtout un disque très dansant. Donc depuis la sortie de Let It Die, Feist est devenue une star, incarnant le glamour, le glamour sans alcool d’une Chan Marshall. Feist, n’oubliera pas cependant qu’elle doit tout ça à ce magnifique disque, dont les deux singles " Mushaboom " et " One Evening "sont vraiment géniaux. En attendant de futures prouesses de la dame sur le prochain Broken Social Scene, vous irez danser le jerk sur " One Evening ", sur de la musique pop. En vous remerciant.




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