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Ma regrettée grand-mère me disait que l’on attrapera jamais des mouches avec du vinaigre. Liv a du avoir le même discours dans son enfance pour tenir en haleine avec les maigres chansons de son " May Fly May Fall ". Epaisses comme le discernement de Chirac post régionales, les chansons de Liv sont livrées avec une tour d’accessoires faisant jolie et servant avant tout à faire partir la marchandise. On pourra dés lors, faire face à ces disques vendus en vinyl dans les marchés de province avec des tubes repris par l’orchestre de Michel écrits en tout petit. Sympathique au demeurant on pourra se plonger dans le Brasil de la costa qué remuuu té fesses (girl from panam). On se frictionne à des 60’s customisées (good grave) ou encore un Portishead de prisunic dissimulé ici et là. Loin de rebuter May Fly May Fall ne se distingue pas de ces suiveurs qui pensent d’abord à la couleur des rideaux avant de même poser les murs. Aussi aigre douce que puise être cette chronique elle ne devra en rien nous freiner dans cet élan de générosité qui nous faisait acheter les disques de Coldplay avant de nous plonger dans des livres d’histoire replaçant les choses là où elles doivent être. Pour les mouches il est toujours possible de se rabattre sur les dernières productions d’Archive. Une friandise à forte rétention d’eau…Attention aux bourrelets.




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