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Ce disque est un malentendu pour ceux qui ne s’offriront qu’une lecture rapide de ce disque, raillant la continuité pour une lecture introductive. Alejandra commence comme un disque de Programme, une prolongation au cerveau dans la bouche. Mais Alejandra ne sera pas le disque bavard que l’on pouvait croire. Disque buvard, ce EP lorgne dans tout ce que le post rock à pu tracer comme branches à son arbre généalogique. Mais chez Absinthe les feuilles de cet arbre tombent à la pelle, comme chassées par un déluge qui ne prendra pas soin de nous garder sans protection. On aura dés lors de la peine à escalader un arbre glissant sous nos doigts, ne pouvant nous amarrer sous des bourrasques qui font perdre tout sens de la mesure pour pouvoir continuer. Absinthe (provisoire) loge certainement son nectar sous l’écorce, mais les mains nues il nous est impossible de gratter sans nous saigner les doigts. Disque difficile.




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