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On ne sait comment est venue le nom du groupe, si chanel ou la fille du couple Thurston Moore Kim Gordon a servi d’inspiration pour se regrouper derrière un nom, tout ce que nous savons c’est que ce nom va bien à cette musique. Coco, comme un pote que l’on aime connaître, un type qui ne nous impressionne pas mais nous charme toujours par une allure entre le débonnaire et l’application à nous surprendre. Coco, le groupe, est de la seconde famille. En cinq titres le groupe aura le bon goût de nous surprendre avec une allure étonnante entre lyrisme et pop anglaise totalement assimilée. On ne pourra pas dire que the wicked child et my brillant sun sont de la même veine et on sera encore plus épatés que ce soit du même groupe. Car My brillant sun qui clos great and awful perche Coco dans des cimes que le chant prenant de coco n’aura que peu de peine à gravir. Il y a du Radiohead chez Coco, loin certes du gang d’Oxford qui a depuis longtemps quitté le plancher des vaches pour toucher les astres, mais dans un entre deux qui surprend même un chroniqueur aguerri au carbone et à la planche à copier. Depuis Syd Matters, ont avait pas entendu un groupe pouvant se frotter aux anglo-saxons sans passer pour un mauvais trip sponsorisé par une filiale de robert et collins. Coco touche dans le mille avec une allure de grand.




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