> Critiques > Labellisés



Venant de me porter acquéreur d’une nouvel outil informatique avec en prime un caisson de basse, il me tardait de mettre en branle l’outil et de lui infliger (surtout au parquet qui supporte le caisson) les pires beat en ma possession. Après plusieurs essais peut fructueux dans ma quête j’abandonnais le caisson de basse à son triste sort de mangeur de poussière et de repose pieds. C’est ainsi que mes pieds se virent réveiller un soir par les spasmes énormes (avec huit O s’il vous plait) du Barry Black des vendas novas. Trio angevin et déguisé (la musique avant tout, nous on s’en fout…..on connaît la ritournelle de daft punk en passant dernièrement par le klub des loosers), vendas novas deploit un son si énorme (avec huit O je rappelle) dégommant toutes velléités castratrices de refuser de définitivement perdre du poids ou d’essayer le nouveau déodorant protegeant des moiteurs environnantes. Ici c’est Peaches chez les chemichal brothers en panne de ridicules coiffures, c’est la tour de pise copulant avec la tour eiffel, c’est tout un pan entier de ma frustration de ne savoir danser qui se bouscule devant la,porte d’entrée de vendredi avant de se lâcher sur sing out. Autant trempé des astéroïdes clinquant du son des eighties, vendas novas s’affranchi de la déraison de vouloir être le début et essaye avant tout de détruire le mot fin. Hier j’ai été embrasser mon vendeur en informatique, l’invitant à la maison pour une séance de clubbing dévastateur pour le sol. Enorme…..vous savez la suite.




 autres albums


aucune chronique du même artiste.

 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.