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Comme Garbage pouvait l’être pour une bande de producteurs en mal de passage télé et pour une gourgandine roucouleuse, the bad machines et un side projet, celui de Michelle Margherita (bassiste de farrah) et de Paul scott (Montana). Comme Garbage tout y passe dans les influences, toutes mixés triturés dans un melting pop electro pop pas désagréable, mais tellement convenue que l’on prendrait les productions de coldplay pour la première des recherches aventureuses. Michelle s’y présente comme une chanteuse proche de l’extinction qui se bat avec les démons de l’aphonie. On gardera donc telling lies pour ces soirées où l’assistance tout en n’étant pas férue de musique aime à accompagner ses conversations pré dînatoire d’un soupçon de musique lui rappelant tout et rien à la fois, et comme on dit souvent c’est déjà pas si mal. Je vous aurais menti ? Peut-être, car la fin du disque me donnera certainement tort .




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