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Alors que les croisades et que la guerre des étoiles se battent déjà pour le plein de dollars dans les salles obscurantistes, même celles plus estimables de Cannes, un chevreuil c’est échappé pour se mettre à la recherche du Graal tout en parlant en plein milieu (retour de flemme) d’une enveloppe à l’adresse de la musique, cet entre qui regroupe sous son nom aussi bien dj shadow qu’ ACDC ou Didier Barbelivien. Avec Perceval music on part d’un point lointain dans le temps pour l’amener à se transformer au contact unique de l’électricité. Rythmiquement déboussolant, cet album est moins abscons qu’il n’y paraît, une fois la liaison entre les temps faites, et surtout une fois les pierres mises sur un joli collier. Dans un domaine qui lui est propre, Perceval music parle à tout le corps (eau forte) frisant parfois la mélancolie stellaire d’avant big bang (quatre vents). Moins un ovni qu’un disque de prospection pour le futur, Perceval music s’approche de la convention d’un grand film baroque et à grand spectacle tout en gardant un grand mystère sous un squelette visible.




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