> Critiques > Labellisés



Ca y est j’ai enfin trouvé les limites de Beef Terminal, et peut être les limites d’un genre. J’avais été très marqué par le sublime album de Beef Terminal, 20 goto 10, magnifique album, où la beauté d’une guitare suffisait à faire couler quelques gouttes sur ma joue mal rasée. Mais depuis cet album sorti en l’an 2000, peu de choses ont changé, ou si peu. Si une chose à changer, un groupe qui s’appelle 1 mile north, jouant une musique similaire, mais diablement plus belle encore, sublimant le minimalisme guitaristique. Alors The Isalionnist est loin d’être un mauvais disque, il a ses moments de charme, de tristesse, mais le côté, fait sur à l’ordinateur ressort trop, surtout au niveau des rythmes qui manque singulièrement de profondeur et de relief. Peut être tout simplement un petit manque d’humanité. Mais une fois cette petite gène accepter, on touche au bonheur sur certains titres, magiques, dotés d’un fort pouvoir émotionnel, nous plongeant dans une espèce de lévitation, le sourire au lèvre, les yeux mouillés, le regard évasif et la tête pleins d’images. C’est sûrement tout ce qu’on lui demande…n’empêche que ce disque montre certaines limites, non pas dans l’émotion donnée, mais plutôt dans la technique. Tant que la technique ne prend pas le pas sur l’émotion nous sommes sauvés. En vous remerciant .




 autres albums


aucune chronique du même artiste.

 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.