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Le dernier duo féminin que nous louions ici était Mansfield Tya, deux tigresses rêches, faisant du « rid of me « de miss polly une aimable ballade dans le monde merveilleux de oui oui. Les andromakers seraient comme l’inverse des deux Nantaises. Pas de piano ni de guitare ou de violon agressif, chez les Andromakers on a plutôt était élevé par Jimi Tenor, par Röyksopp. Avec un bontempi de brocante, une boite à rythme qui n’avait pas vu le soleil depuis le « Février » de Dominique A et un chant clair et sucré, nos deux andromakers nous offrent trois chansons fraiches et délicates, des caresses électro-bricolo qui collent à notre envie de quitter l’electro-intéllo voir l’élécto-mégalo. Sympathique. A suivre absolument.