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Que dire de plus que ce qui a été dit à la sortie de « The Art Of Kissing Properly » par nos services. Peut être que Michel Moller chante de mieux en mieux ? Peut être que le groupe passe au stade supérieur, laissant le Coldplay à ses grandes salles, pour les enceintes gigantesques de U2. Car « We Had Faces Then » ne regroupe pas des chansons que l’on chante avec une assistance réduite, ces chansons sont des hymnes que l’on chante avec son téléphone portable remplaçant le briquet dangereux, et les gorges prêtent pour entonner des refrains entrainants. Pas très sexy, Moi Caprice compense par une science de la mélodie qui fait chavirer, emballant tout sur son passage, grâce à deux arpèges et à des orchestrations feutrés. Donc que dire de plus, que ce disque ferait un carton si il était l’œuvre de Bono ou de Chris Martin, que Moi Caprice ferait le tour du globe pour pas un rond, s’en mettant plein les poches en passant, mais Moi Caprice a probablement raté un avion, trouvant tardivement une reconnaissance, qui en des temps béni, aurait propulsé le groupe au firmament. Pas un caprice, une belle caresse pop rock.




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