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Duo de deux anciens Dj’s, grand national est le genre d’ovni sorti de nulle part, et repartant souvent aussi vite qu’ils sont arrivés, tout en laissant derrière eux un album qui ne connaîtra pas les affres du temps et sera l’un des compagnons des soirées nostalgies autour d’une bon verre de cognac de trentenaire. Après définition of sound, après day one, grand national va certainement squatter les radios et les playlists pour un bon nombre de semaines. Grand national est à la fois l’album que Sting aurait pu enregistrer si plutôt que de jouer avec police il c’était marié avec madness ou les specials (boner) mais aussi l’album de deux dj’s maboules de son en collant autant que possible tant que l’énergie ne part pas (playing in the distance). Jamais longtemps en dedans (peanut dreams) Grand National plante son barnum au Macumba, pour une petite merveille (cherry tree) de chœur hystéro érotique plongé dans un tourbillon rythmique. On pense aussi autant à Blur ou à un folk implosion (coming round) dans la tradition de la marge anglaise de se couper les poils des jambes et de ce les coller le long des joues. Avec eux on en prend pour quinze ans à ce dodeliner comme des idiots. Very spéciales calimba de luna (daylight goes) Grand national passe la dernière haie avec la guitare de the Edge sur l’arrière terrain pour un litter bin tout en atmosphère tranquille. Le monde du coooool




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