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Croisé sur le volume 49 de nos compilations en nous faisant prendre compte de la disparition des Bernard, l’électro-pop froide et mordante d’Ultramoderne n’en fini plus de nous réchauffer le cœur, même si c’est en nous replongeant dans nos années d’enfance, ces années 70 d’une France rance, mais qui rétrospectivement nous irrigue encore de quelques sources d’attachement, comme la tronche d’Henri Guybet. Alors qu’Annie Cordy et Roger Carrel viennent de nous confirmer les larmes aux yeux que notre enfance fout le camp, Ultramoderne nous confronte a notre réalité contemporaine en nous infligeant cette petite musique dans la tête, " et finalement, c’était peut-être quand même mieux avant" . Ultramoderne en tous les cas, c’est très bien maintenant.




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