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La Guelle de bois ne vous quitte plus depuis la fin du réveillon de Noël. Vous avez abusé, vous venez de prendre connaissance de la hausse des prix et pas seulement dans le médical, et le père Noël n’a rien trouvé mieux que de vous proposer un coffret retraçant la carrière de Georges Chelon, alors que vous vous rappelez, qu’avant votre tentative de record de Gamma GT vous aviez commandé le coffret Beatles. A cela je vous propose une alternative, pas onéreuse et plutôt efficace, le troisième album de Matt Bioul, « Daystripper ». Déjà il vous remettra la tête d’équerre sans passer par de la chimie, grâce à Ian Capple aux manettes. Après il soulagera vos oreilles mélomanes, car son disque est juste un hommage aux années 60 et 70, reprenant les gimmicks d’entant, changeant juste la production et les sujets abordés. Ensuite il vous redonnera le sourire (pensez à vous brosser les dents, vous avez une drôle d’haleine) grâce à une pochette qui repousse les limites du ridicule, et qui pourrait pénaliser un disque qui n’a justement rien de repoussant. Pas la découverte du siècle, mais certainement une bonne façon de reprendre contact avec un monde qui semble vous vouloir quand même du bien. Une jolie parenthèse formatée.




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