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Larkin Grimm c’est un peu comme votre copine qui vous semble un peu bohême. Celle qui est un peu fo-folle, qu’on adore mais en même temps dont on se dit qu’elle est un peu utopiste. Larkin Grimm peut ressemblait à ça. Mais en fait il n’en est rien. Larkin Grimm est une grande artiste et " The last Tree " vient le prouver de la plus belle des manières. Un disque somptueux fait de belles chansons, de morceaux plus abstraits, mais d’une unité sans faille, faisant tenir le disque sur ces quatre pattes le long des douze unités que compte " The Last Tree ". On croirait parfois un croisement entre Lau Nau et Chan Marshall. Ses envolées lyriques sont aussi sublimes que celles de Josephine Foster, ses morceaux sont sûrement moins oniriques, mais plus mélodiques. Un disque de folk à l’apparence plutôt simple, mais qui s’avère peuplé de cloches, de grains de folie passagère et d’un " Little Weeper " fantastique pendant dix minutes. Un opéra rural, plongé dans une grande maison forcément en bois, avec beaucoup d’écho, des gens frappant aux fenêtres, des amis sur le rockin chair, des instruments jonchant le sol…Comment ne pas aimer cette femme aux robes colorées et déstructurées, comment ne pas tomber amoureux de " The Last tree " grand disque de folk. Vous n’aurez aucune excuse, pour au moins, jetez une oreille sur un ou deux morceaux et vous rendre compte à quel point sa musique est communicative. " Strange Creature ". En vous remerciant.




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