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Quand Zebda a signifié sa mise en touche, on a pas érigé un feu de joie, mais c’était pas loin. Derrière un discours revendicatif plus que défendable, on finissait pas oublier que cette musique, tout en étant festive étant tout juste bonne à inviter tata ou grand mére à la fin d’un banquet, avant de tomber la chemise. C’est pour cette raison que nous ne ferons pas grand cas de "beautés vulgaires", qui reprend à son compte cette combinaison de chose, prenant l’actualité à témoin (chanson sur le 21 avril) comme appuis à une supposée bonne conscience. Car oui la guerre c’est pas bien, les cheveux ils poussent sur la tête, le FN est un parti d’enculés, et ma chronique est méchante. Mais quand un supposé talent éclos, il garde pour pas mal de temps sa coquille, puisant en celle-ci l’énergie et les images qui feront de ces mots une suite ouvrant l’esprit vers des chemins de traverses donnant plus à réfléchir qu’a subir. Asile de flou en ce cas porte mal son nom, car tout est ici trop terre à terre.




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