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Qui a part Frédéric François a en France une carrière aussi rectiligne que la frange puante de notre sinistre de l’intégration. Rectiligne c’est le mot maudit du vocabulaire des Mystechs. Depuis que nous suivons le groupe grace aux gracieux envois outre atlantique de leur label foutraque, notre science de l’enfermement a perdu de son pouvoir, car un album de Mystechs et l’oeuvre d’un groupe mais le suivant et l’oeuvre d’un autre…..mais le même…vous suivez ? Leur actualité nous facilite la chose avec deux disques sortant conjointement, un disque dans le feu du hard rock et une fantocherie electro qui donne au rocher suchard le droit de s’éxhiler en Bulgarie. Des pochettes laides qui trustent les charts de la zone de relégation de notre palmares de fin d’année, une musique lêchant les prémices de la vacuité sonores, mais allez savoir pourquoi, nous préférerons toujours écouter ces énormities que les relances frigides de frédo l’italo belgico. Mystechs ou le renouveau du carnaval de bas étage.




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