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  • 16 novembre 2006 /
    Amyssis
    “the quest”

    rédigé par gdo
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Avec ce nom à nous rappeler la plaie des dix dernières (la téléphonie mondiale) on pouvait imaginer que Amyssis n’aurait pas de problème de communication. A cheval entre une structure pop classique (king of the pills) et un désir de casser celle-ci (it’s time), Amyssis se prend les pieds dans le tapis, mais garde l’équilibre et se permet même le luxe de récupérer sur une table sans tomber, la télécommande du lecteur dvd et de lancer un film américain des années 60 avec Gary Grant (professeur windbreaker), entre poursuite et scéne de baiser, entre chaud et froid sous l’égide d’un Hitchcock s’attaquant à une nouvelle version d’un James Bond plus fin que fourbe. Sophistiqué Amyssis l’est, même quand il lorgne vers Athènes, le temps d’un clin d’œil (smoke of gods) s’offrant une référence comme cadeau. De REM à Elliott Smith (Katie) Amyssis met plus du sien qu’il ne prend aux autres et discute avec les gens sans trop de fils. J’écoute !.




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