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Le western est mort, vive the cactus farmers. Des bottes à éperon, des guitares dans un vent chaud et rassurant, the cactus farmers sympathise avec le patron d’un saloon et balance sous la moiteur d’un ventilateur pachydermique, des chansons de cowboy (covergirl) se déplaçant en vélo. L’image peut prêter à sourire mais the cactus farmers est un groupe aussi roots que fait de quenouille, rassurant leur entourage par l’absence totale d’éructation odorante de boules de tabac. Non, pas de chiquer chiquer, pas du faux c’est du vrai. Donnant à penser que l’Arizona est peut être au bout d’une rue principale de Corbeil Essonne (last down in the cactus valley), the cactus farmers donnent surtout à penser que si johnny Cash est mort (sister) ses cendres doivent prendre la poudre d’escampette grâce au vent et donner aux guitares le loisir de mettre de la mélancolie noires dans les accords d’une marche funèbre cuivrée ou à un post rock laissé en plan (alcohol for the braves). The cactus farmers sont des amis des amis de dean martinez, une bande d’allumés, de prêcheurs vintage porteurs d’un message simple, que nos joues deviennent rouges et notre corps réceptif aux ondes. Piqué des cactus farmers comme Lee d’Hazletown.




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